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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Histoire de la FTQ 1965-1992. La plus grande centrale syndicale au Québec. (1994)
Table des photographies


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Louis Fournier, Histoire de la FTQ 1965-1992. La plus grande centrale syndicale au Québec. Montréal : Les Éditions Québec/Amérique, 1994, 292 pp. Une édition numérique réalisée par Réjeanne Toussaint, bénévole, Chomedey, Ville Laval, Québec. [L’auteur nous a accordé le 2 avril 2012 l’autorisation de diffuser en libre ac-cès à tous ce livre dans Les Classiques des sciences sociales. Cette autorisation nous a été réitérée le 21 mars 2024.]

Photo 1. Le 30 octobre 1964, le nouveau président de la FTQ, Louis Laberge, et le candidat défait par une seule voix, Fernand Daoust, se serrent la main. Après l'élection de Daoust au poste de secrétaire général en 1969, les deux hommes formeront un tandem à la direction de la centrale durant vingt-deux ans, devenant ainsi le plus vieux couple du syndicalisme québécois. (Fédéral Photos)

Photo 2. La FTQ a soutenu le Nouveau Parti démocratique pendant trente ans lors des élections fédérales, avant d'accorder son appui en 1993 au Bloc québécois souverainiste. Lors du congrès du NPD-Québec en 1965 : au centre, le leader du parti social-démocrate, Robert Cliche, accompagné des présidents des deux grandes centrales, Louis Laberge de la FTQ et jean Marchand de la CSN. (Fédéral Photos)

Photo 3. Le 30 septembre 1966, la majorité des salariés d'Hydro-Québec votent leur adhésion au Syndicat canadien de la fonction publique, affilié à la FTQ, plutôt qu'à la CSN. Le SCFP deviendra avec les années le plus important syndicat de la FTQ, avec les Métallos et la FTQ-Construction. (Photo FTQ)
Photo 4. Le bureau de direction de la FTQ élu au congrès de 1967. De gauche à droite : les vice-présidents Jean Gérin-Lajoie (métallos), Roger Perreault (Construction), René Rondou (Tabac), le secrétaire général Gérard Rancourt, André Thibaudeau (SCFP), le président Louis Laberge, Fernand Daoust (Pétrole-Chimie) et Joseph-François Laroche (Papier). (Photo FTQ)
Photo 5. Le 6 septembre 1968, 10 000 travailleurs membres du Conseil des métiers de la construction débraient et manifestent à Montréal. Au centre, Louis Laberge est en compagnie de Claude Mérineau, secrétaire général de la FTQ (à gauche), et d'André (« Dédé.) Desjardins, l'étoile montante des syndicats du bâtiment. (Fédéral Photos)
Photo 6. En octobre 1969, la FTQ et l'ensemble du mouvement syndical soutiennent le lancement du journal populaire Québec-Presse, hebdomadaire de gauche qui paraîtra durant cinq ans. Ci-dessus, une publicité en faveur de Québec-Presse publiée dans le mensuel de la FTQ, Le Monde ouvrier. (Photo FTQ)
Photo 7. Lors de la Crise d'octobre 1970, les centrales syndicales, le Parti québécois et le NPD dénoncent le terrorisme du FLQ mais aussi la Loi des mesures de guerre du « régime Trudeau-Bourassa-Drapeau ». Dans l'ordre habituel : Matthias Rioux de la CEQ, le chef du PQ, René Lévesque, le président de la CSN, Marcel Pepin, ainsi que Louis Laberge et Fernand Daoust de la FTQ. (Photo Pierre McCann, La Presse)
Photo 8. Le 29 octobre 1971, 15 000 personnes participent à une célèbre manifestation de solidarité en guise d'appui aux lock-outés du quotidien La Presse à Montréal, propriété de Power Corporation. Louis Laberge s'adresse à la foule agitée, quelques minutes avant d'être matraqué par la police comme des dizaines d'autres manifestants. (Photos Ronald Labelle)
Photo 9. Le 9 mai 1972, les présidents des trois grandes centrales, Yvon Charbonneau de la CEQ, Marcel Pepin de la CSN et Louis Laberge de la FTQ, s'apprêtent à prendre le chemin d'Orsainville après avoir été condamnés à un an de prison pour outrage au tribunal. ils passeront quinze jours « en dedans ». avant d'aller en appel, puis devront retourner derrière les barreaux pour cinq mois en 1973. Leur « crime » : avoir incité des grévistes à défier les injonctions ordonnant leur retour au travail lors de la grève générale du secteur public et parapublic en avril 1972. (Photo Paul Taillefer)
Photo 10. Manifestation lors de la comparution de Louis Laberge au Palais de justice de Joliette, en octobre 1974. Accusé d'incitation à la violence dans un conflit des Machinistes chez Hupp Canada à l'Assomption, le président de la FTQ sera condamné à trois ans de prison, puis acquitté en appel. Sur la photo, Laberge est accompagné de Fernand Daoust (à gauche) et du directeur du SCFP, Jacques Brûlé. (Photo FTQ)
Photo 11. Louis Laberge témoigne devant la commission d'enquête Cliche sur la liberté syndicale dans l'industrie de la construction. Il est interrogé par le procureur-chef de la commission, Me Lucien Bouchard, futur chef du Bloc québécois. (Photo FTQ)
Photo 12. Le  29 octobre 1974, la FTQ fait descendre dans la rue à Montréal près de 40 000 personnes, en guise notamment de solidarité avec les grévistes de la United Aicraft dont le conflit va durer vingt longs mois, En mortaise : en tête du cortège, Fernand Daoust et Louis Laberge ; Jean-Marie Gonthier, un des leaders des grévistes, et Robert Dean, directeur des Travailleurs unis de l'automobile et de l'aérospatiale. (Photos La Presse)
Photo 13. À son congrès de 1975, la FTQ décide d'accorder son soutien au Parti québécois de René Lévesque. Un des grands artisans de cet appui et même de cette alliance, Fernand Daoust, est ici en compagnie de deux dirigeants du parti, Marcel Léger et Camille Laurin, lors d'une manifestation tenue en 1976 peu avant l'élection du PQ. (Photo FTQ)
Photo 14. Lors du sommet économique de La Malbaie en mai 1977, Louis Laberge est en compagnie du nouveau premier ministre René Lévesque et du grand financier Paul Desmarais, président de Power Corporation. La trinité syndicale, patronale et gouvernementale. (Photo La Presse)
Photo 15. Piquetage devant la Fiducie du Québec, institution du Mouvement Desjardins, en novembre 1977. Les grévistes, en grande majorité des femmes, sont membres de la section locale 57 du Syndicat des employés professionnels et de bureau. (Photos FTQ) Photo 16. Première grève des téléphonistes de Bell Canada, membres du Syndicat des travailleurs et travailleuses en communications du Canada (STCC), en février 1980. À l'avant-plan de la manifestation, leur dirigeante Marie Pinsonneault, la première femme élue au bureau de direction de la FTQ lors du congrès de 1979.
Photo 17. La FTQ contribue à mettre sur pied en 1980 une organisation syndicale entièrement québécoise, la FTQ-Construction - dont les membres manifestent ici pour réclamer un nouveau contrat de travail. Ci-dessous, le président-fondateur de l'organisme, Jean Lavallée, et le directeur général, Guy Perreault. Ce dernier mourra tragiquement dans un accident d'avion, en 1988, avec trois autres syndicalistes de la FTQ-Construction. (Photos Alain Gauthier) Photo 18. La FTQ répond OUI lors du référendum du 20 mai 1980 sur la souveraineté du Québec. Lors du congrès extraordinaire qu'elle tient à ce sujet, un des plus chauds partisans du Québec souverain est le fougueux Clément Godbout, directeur adjoint du Syndicat des Métallos, qui fut candidat du PQ sur la Côte-Nord lors des élections de 1973. (Photo Michel Senécal)
Photo 19. Le 21 novembre 1981, à l'appel des syndicats, près de 100 000 personnes manifestent devant le Parlement à Ottawa à l'occasion de la pire crise économique survenue depuis la Grande Dépression des années 30. (Photo Michel Cloutier)
Photo 20a. La FTQ réalise un de ses plus beaux exploits en mettant sur pied, en 1983, le Fonds de solidarité des travailleurs du Québec, institution financière syndicale vouée à créer et maintenir des emplois. Le premier conseil d'administration du Fonds comprend, de gauche à droite, première rangée : Fernand Daoust, Louis Laberge, Nicolle Forget et Raymond Bachand. Deuxième rangée : Edmond Gallant (Syndicat du papier), Lise Fortin (Conseil du travail de l'Outaouais), Claude Ducharme (Automobile), Claude Morrisseau (SCFP), Clément Godbout (Métallos) et Claude Blanchet, PDG du Fonds. Troisième rangée : Aimé Gohier (Services) et Jean-Guy Frenette, directeur du service de la recherche à la FTQ. (Photo Normand Rajotte) Photo 20b. Jean-Guy Frenette, un des grands artisans de la création du Fonds de solidarité. Embauché en 1967 à la FTQ comme premier directeur du service de la recherche, il a longtemps joué le rôle de conseiller économique avant de devenir, en 1986, le conseiller politique discret mais influent de la centrale. (Photo Lise Labelle)
Photo 21. Quelques-uns des 450 000 membres de la FTQ lors de divers conflits vécus dans les années 80. (Photos FTQ, Michel Cloutier, Serge Jongué et Pierre Laflamme) Photo 22. Quelques-uns des 450 000 membres de la FTQ lors de divers conflits vécus dans les années 80. (Photos FTQ, Michel Cloutier, Serge Jongué et Pierre Laflamme)
Photo 23. Manifestation contre le gouvernement Bourassa, en décembre 1986, à Montréal. (Photo Serge Jongué) Photo 24. Le 10 avril 1991, Louis Laberge, très ému, annonce qu'il quitte la barre de la FTQ. À ses côtés, le nouveau président, son vieux compagnon d'armes Fernand Daoust, et le nouveau secrétaire général, Clément Godbout, dauphin de Laberge. (Photo Serge Jongué)
Photo 25. Manifestation du 1er mai 1992 à Montréal. Dans l'ordre habituel : Clément Godbout ; Guy Cousineau, secrétaire général du Conseil du travail de Montréal ; Robert White, président du Congrès du travail du Canada, et Fernand Daoust. (Photo Serge Jongué) Photo 26. Le bureau de direction de la FTQ et une partie du personnel de la centrale au nouveau siège social à Montréal, en 1993. Au total, y compris le personnel dans les régions, l'équipe de la FTQ compte plus d'une soixantaine de personnes. (Photo Serge Jongué)
Photo 27. Le nouveau tandem qui dirige la FTQ depuis décembre 1993. Le président Clément Godbout, ancien mineur membre des Métallos, est né le 19 juillet 1939 à Palmarolle en Abitibi. Le secrétaire général Henri Massé, ancien syndicaliste du secteur public (SCFP), est né le 24 juillet 1946 à La Sarre en... Abitibi. Avec le conseiller politique Jean-Guy Frenette, natif de Barraute, le clan des Abitibiens contrôle la direction de la FTQ... (Photo Serge Jongué)


Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 1 mai 2024 0:57
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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